Sommaire de ce numéro

  1. Notre agenda du mois de juillet et août 2013.
  2. Récit du vernissage de l'exposition des enfants de Dives sur Mer le 7 juin 2013.
  3. Compte-rendu de la sortie au parc de Creully du 1er juin 2013.
  4. Compte-rendu de la visite au musée des Beaux Arts du 1er juin 2013.
  5. Découverte du geste de l'aviron.
  6. Le regard des Français sur la cécité.
  7. Déficience visuelle : des lunettes pour lire les étiquettes.
  8. un site et une brochure « Les parcs nationaux accessibles à tous ».

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Notre agenda du mois de juillet 2013

  • Jeudi 4 juillet : commission d'accessibilité Viacités.
  • Vendredi 5 juillet : tournage d'un reportage par une Web TV au parc du château de Creully.
  • Mardi 9 juillet : groupe de travail de la commission Intercommunale d'Accessibilité aux Personnes Handicapées.

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Récit du vernissage de l'exposition des enfants de Dives sur Mer le 7 juin 2013

Le 7 juin 2013, je me suis rendue à l'inauguration de l'exposition des travaux réalisés autour du handicap par plusieurs classes de maternelle et primaire de Dives sur Mer.

Suite à l'intervention de Cécitix les 29 novembre et 6 décembre 2012 auprès d'élèves de maternelle, CP et CE1 de l'école Colleville à Dives sur Mer, les enfants ont réalisé divers travaux sur le thème du handicap visuel. Ces travaux ont fait l'objet d'une exposition à la Médiathèque de la commune.

Après un discours d'ouverture par Monsieur le Maire de Dives sur Mer, Madame Ghislaine Hanse, conseillère municipale, a présenté l'exposition. C'est ensuite Daniel Brenet, l'un des instituteurs et également adhérent de Cécitix, qui a évoqué le projet et remercié les intervenants ayant permis de le mener à bien.

Enfin, un groupe d'enfants de grande section de maternelle et de CP nous a interprété une chanson sur la différence, écrite par Marie-Hélène Perrier, enseignante en maternelle.

« Quand on voit autour de soi des gens qui tournent le dos
A tous ceux qui n'auraient pas eu la même chance que toi
Quelle erreur de raisonnement, vouloir tout séparer
Car c'est en se mélangeant, qu'on va s'améliorer.

refrain :
En fauteuil, tiens on va jouer !
Handicap, ça ne change rien,
Que ça se voit ou que ça ne se voit pas,
Tu peux être mon ami(e)
Et moi je vais t'aider,
Tu peux être mon ami(e)
Et moi je vais m'aider.

Qu'on soit sourd, malentendant, muet ou bien aveugle
Souhaitons moins de souffrance et plus d'égalité
Le monde serait plus marrant, on se comprendrait mieux
car c'est en communiquant, qu'on sera plus heureux.

Refrain... »

J'ai alors profité que tous se précipitaient sur les jus de fruits pour aller explorer l'exposition en compagnie de mon guide, Lou-Amélie, en classe de CP. Elle m'a lu quelques textes rédigés par les enfants, puis m'a fait jouer à de petits jeux de toucher. Plusieurs boîtes étaient disposées au sol, chacune décorée avec des matières et textures variées. Je devais mettre une main dans chaque boîte et retrouver deux objets identiques. J'avoue avoir brillamment réussi ces épreuves.

J'ai ensuite découvert avec mes doigts et la voix de Lou-Amélie plusieurs panneaux évoquant différents handicaps. Des personnages étaient représentés en relief sur les panneaux dans des matériaux très divers. L'un d'eux portait de grosses lunettes, un autre étaitt dans un fauteuil, etc. De petits textes accompagnaient chacune des créations. Sur un autre panneau, des objets et des formes étaient représentés, soit en relief, soit dessinés, à l'intérieur de boîtes à Camembert recouvertes d'une feuille. Il suffisait de glisser la main sous la feuille pour toucher les petits objets, ou de la soulever pour voir le dessin.

Enfin, j'ai pu découvrir le livre écrit par les enfants de CP de l'école Colleville. Il raconte l'histoire de deux frères, l'un aveugle, l'autre voyant, qui se chamaillent. L'objet de la chamaillerie ? C'est leurs perceptions différentes d'une même chose. Le papillon, le sapin ou la cabane sont perçu de manières très différentes par les deux frères. Et pour illustrer cette histoire, les enfants ont réalisé de belles pages en relief à l'aide de brins de paille, de tissu et toutes sortes de matières aux touchers bien distincts.

Evidemment, lorsque nous avons eu terminé notre exploration, il ne restait plus rien des jus de fruits proposés. Mais nous avons pu passer un moment au soleil, en compagnie de Daniel, Francine et Claude, tous trois accompagnés des futurs chiens-guides d'aveugles : Hélios, Hévéa et Havane.

Un grand bravo aux enfants qui ont réalisé de belles choses sur un sujet pas toujours facile à comprendre à leur âge, et un grand merci aux enseignants qui se sont investis dans ce projet.

Rédigé par Emmanuelle GOUSSET.

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Compte-rendu de la sortie au parc de Creully du 1er juin 2013.

Le samedi 1er juin, plusieurs membres de Cécitix ont participé à la visite du parc du château de Creully. Cette sortie était organisée par le CREPAN (Comité Régional d'Etude pour la Protection et l'Aménagement de la Nature), dans le cadre des escapades nature du Conseil général du Calvados.

Nous nous sommes retrouvés à 15h à l'entrée du parcours botanique du parc du château de Creully. Au préalable, nous avions téléchargé sur nos baladeurs MP3 l'audio-guide comprenant la description des dix arbres faisant l'objet de ce parcours. Cet audio-guide a été réalisé par les élèves de cinquième du collège Jean de la Varande de Creully, grâce aux textes rédigés par les botanistes du CREPAN.

Nous avons commencé la visite en nous attardant sur le plan en relief aménagé sur un support en bois. Ce plan permet de nous représenter le tracé du parcours, creusé dans le bois. Les arbres décrits y sont localisés à l'aide de gros clous plantés le long de ce tracé.

Ensuite, nous nous sommes dirigés vers le premier arbre décrit. Il s'agit d'un robinier, hélas le seul arbre à ce jour pour lequel la mairie a achevé l'aménagement.
Nous avons pu découvrir les caractéristiques du robinier en déclenchant notre lecteur MP3 et en touchant les feuilles et le tronc de l'arbre. Comme nous avions la chance d'avoir avec nous des botanistes du CREPAN, cela nous a permis d'en apprendre davantage sur la diversité de ces essences.

Nous avons poursuivi notre visite en suivant ce parcours botanique, faisant escale devant l'érable, le noisetier, le hêtre, le frêne, le houx, le bouleau, le cerisier en finissant par le marronnier.

Cette sortie s'est terminée de façon très conviviale par un goûter dans le parc du château à l'occasion duquel nous avons fait un petit bilan de ce parcours.
Il en résulte les points suivants :
En premier lieu, il faudra veiller à mieux le promouvoir auprès du grand public.
En second lieu, nous regrettons de constater que la ville de Creully a pris un sérieux retard pour finir d'aménager ce parcours pour les visiteurs déficients visuels.

Rédigé par Nicolas Fortin.

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Compte-rendu de la visite au musée des Beaux Arts du 1er juin 2013

Le samedi 1er juin 2013, le musée des Beaux Arts de Caen avait organisé une visite descriptive autour d'une des œuvres de l'exposition impressionniste « un été au bord de l'eau ». Le tableau choisi était « L'hôtel des Roches Noires » de Claude Monet.

C'est une nouvelle fois Pascale FISZLEWICZ qui, pour notre plus grand plaisir, nous a accueillis dans le hall du musée. Et compte tenu de la forte affluence durant cette exposition, elle nous a proposé de petits appareils permettant de l'entendre dans un casque sans qu'elle ait à hausser le ton et sans que nous ne soyons gênés par le brouhaha environnant. Elle nous a accompagnés à travers l'exposition temporaire des impressionnistes.
Puis nous nous sommes installés devant ce tableau de Claude Monet intitulé « l'Hôtel des Roches Noires ».

Peint en 1870, à la veille de la guerre de Prusse, il est d'une hauteur de 81 centimètres et d'une largeur de 58,5 centimètres. Il représente l'Hôtel des Roches Noires à Trouville, témoignant de la grande bourgeoisie du Second Empire.
En effet, Trouville sur Mer devient une station balnéaire grâce aux médecins Anglais qui, dès le dix-huitième siècle, prescrivaient les bains de mer pour soigner les rhumatismes et autres maux.

La toile peut se décomposer en trois parties triangulaires avec, à gauche, le bord de mer, au centre, la digue, et à droite toute la façade de l'hôtel. Le paysage est toutefois représenté en perspective, si bien que la digue va en s'étrécissant vers le haut du tableau.

A gauche, le long de la toile, est représenté un long mât blanc portant un immense drapeau fait de traits horizontaux rouges et blancs sur fond gris. Il occupe la moitié haute de la toile.
Un peu plus loin, donc en plus petit et sur une diagonale, sont peints deux autres drapeaux. Le deuxième est au couleur du drapeau français. Le troisième est davantage une tache aux couleurs bleues, rouges. On dirait que les trois drapeaux flottent d'un vent d'ouest.
Derrière le premier drapeau, on distingue une balustrade surplombée par trois lampadaires.

Sur la partie haute du tableau, au-dessus de la diagonale des drapeaux, le ciel est légèrement nuageux pour devenir plus brumeux en bas. Le dessin et la luminosité des nuages sont particulièrement remarquables.

En bas de la toile, sur la digue et au pied du premier drapeau, se trouve une femme élégante, vêtue d'une robe blanche, assise sur un transat. A ses côtés se tiennent trois personnages dont l'un salue les deux autres en soulevant son chapeau.
Au fond de la digue, on distingue une tour et devant celle-ci une tente blanche de réception. Deux femmes marchent sur la digue à l'ombre de l'hôtel. L'une porte un chapeau blanc.

Un massif de fleurs rouges borde l'hôtel. A côté se tient un homme debout, de dos. Il est coiffé d'un chapeau et tient une canne. Il regarde devant lui, les escaliers de l'hôtel en haut desquels figurent quatre personnages.

Le côté droit de la toile représente la façade du grand Hôtel des Roches Noires. Un escalier central permet de monter au premier niveau. A cet étage, il y a un grand balcon qui fait une avancée.

Le peintre a joué sur les contrastes, sur la luminosité. La plus grande partie de l'hôtel des roches noires est plongé dans une ombre grise. La bâtisse est faite de pierre aux couleurs chaudes, jaunes, bleu-gris, rosé. L'escalier est fait de grandes marches grises crème avec de grandes taches de turquoise qui font de lumineuses touches de couleur dans le tableau.

L'œuvre est d'ailleurs comme une succession de taches. Le massif de fleurs, par exemple, est fait de taches de différentes nuances de vert. Une grande tache ggris-vert découpe de manière très abrupte le sol, délimitée par une ligne oblique qui part du coin inférieur droit du tableau et vient jusqu'aux femmes debout, évoquées plus haut.

La terrasse de l'hôtel est éclairée par un rayon de lumière, ce qui lui donne une couleur difficile à décrire. On pourrait parler de gris avec de petites taches de blanc et de rouge. C'est d'une délicatesse magnifique.

Le petit triangle de mer sur la gauche est de couleur vert clair. On aperçoit dans le fond une languette de terre. Les nuages sont dans un grand ciel de couleur bleu roi, plus profond, plus intense vers la terre et d'un bleu plus pâle vers les drapeaux, vers la mer.

Claude Monet a peint ce qu'il voyait, mais comme s'il ne comprenait pas ce qu'il avait sous les yeux. De ce fait, on ne distingue pas nettement les choses. Les taches de couleurs peuvent représenter aussi bien des personnages que des massifs de fleurs. L'œuvre apparaît d'ailleurs de manière très différente à celui qui la regarde de près par rapport à celui qui l'observe avec un certain recul. C'est l'effet d'un « mélange optique », de tous les petits traits de peinture faits par l'artiste. Si bien que de près, le tableau semble réalisé par un mauvais peintre. Mais avec l'éloignement, la précision de l'œil s'estompe, seule restant la beauté de l'effet global avec la lumière sur l'Hôtel des Roches Noires.
Il s'agit là de l'une des bases de la peinture impressionniste.

De même, Monet a saisi le vent comme s'il avait arrêté le temps pendant quelques secondes. Et cela va être la grande recherche de l'impressionnisme et de Claude Monet : saisir l'instant, la lumière.
Auparavant, les peintres représentaient une réalité idéalisée. Les impressionnistes, eux, représentent la réalité telle qu'ils la perçoivent.

La saison qui vient de se terminer au musée des Beaux-Arts de Caen, nous a une fois de plus permis de profiter d'enrichissantes descriptions de peintures. Nous en profitons pour remercier les organisateurs de ces visites ainsi que notre conférencière Pascale FISZLEWICZ qui sait si bien faire vivre ces oeuvres aux personnes qui ne peuvent pas les ressentir par la vue.

Vous pouvez retrouver les comptes-rendus des descriptions des visites de cette saison ainsi que celles de l'année passée à l'adresse suivante :
http://www.cecitix.fr/activites/beaux-arts/index.php

Rédigé par Sylvie Montaubant et Emmanuelle Gousset.

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Découverte du geste de l'aviron

A partir de la Base nautique de Beauregard à Hérouville-Saint-Clair, et organisé sur le canal entre Caen et Ouistreham, il vous est possible de découvrir, en toute sécurité le geste de l'aviron.
En quelques séances, venez découvrir de nouvelles sensations sur un plan d'eau calme.
Composé d'une ou de 2 séances, il s'agit d'apprendre le geste de l'aviron, à l'aide d'un éducateur, en binome, qui vous accompagnera pas à pas.
Cédez à votre curiosité en toute sérénité. Venez essayer ! Prendre contact avec Christophe COCHELIN pour la prise de rendez- vous au 06.60.55.62.64 (Lundi et Vendredi à partir de 16H et samedi après midi).

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Le regard des Français sur la cécité

Points majeurs du sondage réalisé par l'institut Harris Interactive pour Les Auxiliaires des Aveugles, à l'occasion de leur cinquantième anniversaire le 1er juin 2013.

Enquête réalisée en ligne du 20 au 28 mars 2013. Échantillon de 966 individus représentatifs de la population française âgée de 18 ans et plus, à partir de l'accès panel d'Harris Interactive. Méthode des quotas et redressement appliquée aux variables suivantes :
sexe, âge, catégorie socioprofessionnelle et région d'habitation.

Points majeurs révélés par l'enquête :

1. La cécité, un handicap perçu comme invalidant au quotidien

  • 43% des Français jugent la cécité comme un handicap très invalidant au quotidien, presque autant que le handicap moteur ou le handicap mental (respectivement 46% et 47%)
  • La surdité (21%) ainsi que le mutisme (18%) sont considérés comme étant moins invalidants au quotidien que la cécité.

2. La cécité empêcherait de vivre au quotidien de façon autonome, c'est-à-dire sans l'aide quotidienne d'une autre personne pour 53% des Français.
A noter que les jeunes âgés de 18 à 24 ans ainsi que les cadres et professions libérales ont davantage le sentiment qu'une personne aveugle peut, aujourd'hui en France, vivre de façon autonome (respectivement 58% et 52%, contre 47% en moyenne).

3. Concernant la vie quotidienne :

  • 86% des Français estiment qu'il est difficile, pour les aveugles, de se déplacer d'une ville à l'autre (dont 30% très difficile).
  • 74% qu'il leur est difficile d'élever des enfants (16% très difficile).
  • 63% qu'il leur est difficile d'utiliser un ordinateur (dont 21% très difficile).
  • 75 % qu'il est difficile de pratiquer un sport (18% très difficile).
  • 58 % qu'il est difficile de rencontrer de nouvelles personnes (11 % très difficile).

4. Concernant le travail :

  • 79 % des français pensent qu'il est difficile pour les aveugles de travailler (19% très difficile).
  • 93% ressentent un manque de reconnaissance et de valorisation des aveugles dans le travail.
  • 47% des actifs estiment qu'une personne aveugle pourrait exercer leur travail, avec des aménagements (52% estiment que non).

5. Appréciation des aveugles par les français,

  • 94% des français se disent d'accord avec l'affirmation selon laquelle « les personnes aveugles développent de nouvelles capacités sensorielles et intellectuelles qui leur permettent au quotidien de compenser la perte de la vue » (50% sont tout à fait d'accord).
  • 88% des Français considèrent également que « les personnes aveugles disposent de qualités relationnelles et humaines qui sont de vrais atouts pour la société » (32% « tout à fait d'accord »), contre 12% qui déclarent ne pas être d'accord avec cette affirmation.

6. 67% des français considèrent que les aveugles sont ni plus ni moins heureux que les Français n'ayant pas ce handicap. Les personnes âgées de 65 ans sont en proportion plus nombreuses à percevoir les personnes aveugles comme étant moins heureuses (47% d'entre elles, contre 31% pour la moyenne des français).

7. La cécité est un handicap auquel les Français ont le sentiment qu'ils pourraient un jour être confrontés.

  • 70% des Français se sont déjà dit qu'ils pourraient un jour devenir aveugles.
  • 64% sont inquiets à l'idée qu'ils pourraient un jour le devenir.
  • 95% des français considèrent qu'il est très difficile de reprendre le fil de sa vie quand on perd brusquement la vue (dont 33% très difficile).

8. 85% des Français estiment que les pouvoirs publics ne prennent pas suffisamment en compte les aveugle : ceci concerne tant l'adaptation de la voierie ou des bâtiments, l'accessibilité aux transports en commun, les aides sociales versées aux aveugles, l'accessibilité à la culture ou aux sites Internet des administrations.

9. Enfin concernant le bénévolat pour les aveugles : 36% des Français seraient prêts à s'investir personnellement dans une association pour aider les personnes aveugles (dont 5% se déclarent tout à fait prêts).
La proportion des femmes prêtes à s'engager est supérieure à celle des hommes (44% contre 27%) et ce souhait d'engagement est particulièrement fort chez les jeunes de 18 et 24 ans (46%).

Publié avec l'autorisation de l'association Les Auxiliaires des aveugles.
http://www.lesauxiliairesdesaveugles.asso.fr

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Déficience visuelle : des lunettes pour lire les étiquettes

Résumé : Des lunettes pour non-voyants capables de retranscrire vocalement les textes à partir d'emballages de produits, de livres ou de journaux ? Le produit serait commercialisable dès décembre 2013, sous réserve de trouver les financements ad hoc.

Par Handicap.fr le 26-04-2013
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un site et une brochure « Les parcs nationaux accessibles à tous »

La brochure « Accessibilité dans les parcs nationaux » présente pour la première fois l'ensemble des réalisations opérationnelles à l'attention des publics en situation de handicap avec les contacts utiles pour s'informer et préparer son séjour. Disponible dans les maisons et points d'accueil des Parcs nationaux, ce guide est également téléchargeable gratuitement sur internet.

Ce guide trouve son prolongement naturel sur le site officiel des parcs nationaux français qui offre également des informations très utiles par exemple au sujet du :

  • Parc national de la Vanoise
  • Parc national du Mercantour
  • Parc national des Écrins
  • Parc national des Cévennes
  • Parc national de la Guadeloupe
  • Parc national de Port-Cros
  • Parc national des Pyrénées
  • Parc national de La Réunion
  • Parc amazonien de Guyane

GMF et PNF (Parcs nationaux de France) collaborent depuis 2008 à un vaste programme d'amélioration de l'accessibilité dans les parcs nationaux en prenant en compte les 4 familles de handicap - physique, auditif, visuel et intellectuel.

Les travaux concernent l'aménagement des centres d'accueil et d'information et des lieux de séjour, l'adaptation de certains sentiers et lieux d'observation de la faune et de la flore, le développement d'outils pédagogiques et d'interprétation permettant de découvrir la nature et de profiter de ces « territoires d'exception».

Découvrez sur ce lien
Le site internet des Parcs nationaux de France (section handicap)

Téléchargez sur ce lien
La brochure pdf « Les parcs nationaux accessibles à tous ».

Source : Handimobility :
Le site d'Handimobility

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